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MONDE ET VIE
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Il s’est passé quelque chose après la mort de George Floyd, quelque chose de planétaire que l’on pourrait appeler, pour le meilleur et surtout pour le pire une tentative de réhabilitation des races. Souvenez-vous, il n’y a pas si longtemps, on nous sommait de croire que les races n’existaient pas, qu’il fallait à cet égard corriger le dictionnaire et que l’idée même d’appartenance raciale était scientifiquement périmée. C’était les années quatre-vingt et leurs illusions perdues. Aujourd’hui tout est racial. Symbole : la vie de Colbert elle-même se résume au Code noir.Cette nouvelle manière de voir vient des États-Unis explique François La Choüe (p. 10-11), mais elle est née du concept de guerre des races développé en France par Michel Foucault souligne l’abbé Guillaume de Tanoüarn(p. 12-13). En France, elle fleurit dans les décombres de la fameuse société plurielle des années quatre-vingt nous explique Richard Dalleau, qui nous rappelle que notre George Floyd s’appelle Adama Traoré (p. 14-15). Quant à OlivierFigueras, il nous montre la campagne électorale au couteau pour la Présidentielle américaine du 3 novembre prochain, où George Floyd est en train de devenir le drapeau du Parti démocrate (p. 16-17).Pour conclure ce dossier, en quelques réponses vigoureuses, Alain de Benoist nous offre une synthèse du glissement vers le racisme que nous sommes entrain de vivre au nom de l’antiracisme, sous l’étiquette indigéniste.