Deux coups politiques au coeur de l’été
Quinze jours après la spectaculaire défaite de La République En Marche aux élections régionales, son chef suprême, Emmanuel Macron, a entamé avec fracas sa campagne présidentielle. Avec son mépris coutumier de la France et des Français, il a choisi, pour réaffirmer son autorité contestée, de mater ce peuple indocile et de le diviser. Pour y parvenir, il joue, comme de coutume, sur la peur de l’épidémie et la menace du confinement, quitte à renier une fois de plus sa parole. Les yeux dans les yeux des Français, il avait solennellement déclaré, lors de son allocution télévisée du 24 novembre dernier : « Je veux être clair : je ne rendrai pas la vaccination obligatoire ».Il fallait donc s’attendre à ce qu’elle le devienne. Au-delà des sophismes du pouvoir, c’est fait. Ceux qui résisteront à la dictature sanitaire qu’il instaure seront frappés de mort sociale, comme les opposants politiques, naguère, en Union soviétique.Le nouveau variant delta sert de prétexte. Près de nous, l’Angleterre, beaucoup plus touchée que la France, n’impose pas à sa population de…
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